Correspondance – France

Résumé éditeur :

Avant d’écrire, Guy Boley a lu, énormément, en vrac et à l’emporte-pièce, comme tout autodidacte. Puis, un jour, un livre de Pierre Michon, Vies minuscules. Ebloui par ce texte, il est allé le rencontrer, il y a plus de trente ans, dans une librairie, lors d’une séance de signatures. Ils sont devenus amis. Quelques années plus tard, il lui écrit cette lettre, hommage non idolâtre dans lequel il compare le métier d’écrivain à celui qui fut le sien des années durant : funambule. Qu’ont en commun l’auteur et l’acrobate ? Presque tout de ce qui rend la vie séduisante, dont ceci : chacun doit affronter le vertige, le vide, et le risque de la chute…

Coup de ❤️ Marithé :

Un échange bref mais d’une richesse inouïe entre le funambule et l’écrivain. Convergences entre la vie d’artiste et d’écrivain, toujours sur un fil tendu d’où jaillit la beauté pure.

Paru chez Grasset en janvier 2021 – 64 pages – 6,50 €